jeudi 20 juin 2013

Jugeons par nous-même

"je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis" Thomas Jefferson 1802

En fait, il n'est pas si certain que ce bon Thomas Jefferson ait dit ou écrit ce texte. D'ailleurs en faisant des recherches, vous verrez qu'il y a des détracteurs.

Le plus important est de savoir si nous sommes plutôt d'accord ou pas avec le contenu sans spécialement en connaitre l'auteur.
 
Faisons attention à ce que l'on nous raconte. Quand la cours des comptes, ou tout autre organisme, nous fait le bilan d'une ville en précisant si les chiffres sont au dessus ou au dessous de la moyenne des villes de même strate, c'est une manière de vous orienter dans sa propre vision des choses.

La rigidité par exemple, c'est le rapport de la masse salariale sur le total des dépenses. Ne serait-ce pas plutôt la capacité d'entreprendre en régie notre service aux habitants?

Faisons attention de ne pas nous laisser embarquer par une sémantique ou une labellisation qui ne serait pas des meilleures.

En attendant, cette pensée, qu'elle soit ou pas de Jefferson, nous permet de discuter de la place que nous devons laisser aux banques dans notre vie.

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