lundi 7 avril 2014

La gratuité des bus

Les Gens du Béthunois militent pour la gratuité des bus. Mais ce concept, qui interpelle de nombreux habitants, demande des réponses aux questions.

Le bus gratuit, ce n’est pas cher?
Photo : Je partage, tu partages, partageons...Les usagers des bus, en payant un billet, participent à environ 15% du financement des transports. Cette somme est, en fait, faible par rapport au budget total.


A qui le bus gratuit profitera ?
S’ils ne paient pas le bus, les actuels utilisateurs gagneront en pouvoir d’achat. Mais pas qu’eux puisque que la gratuité augmente la fréquentation. Dans les villes mis en place la gratuité, les taux de fréquentation du bus ont doublés et dans certains cas triplés. Toutes les catégories sociales et culturelles sont séduites par ce moyen de transport collectif. Les bus deviennent, alors des lieux ou la mixité sociale existe. Que l’on soit cadre, ouvrier ou employer, que l’on soit jeune ou plus âgé. La liberté et l’égalité de circuler pour toutes et tous, n’est-ce pas de la fraternité !


Le bus gratuit améliorera-t-il notre environnement ?
Partout, où l’on a établit la gratuité, l’on a vite constaté que la fréquentation dans les bus a considérablement vu plus de personnes en ville et moins de voitures. Le nombre de vélo n’a pas baissé et les cycliste utilisent le bus en période de pluie.
 
La fréquence des bus, le réseau, le busway...
Le travail entrepris pour le cadencement des bus doit perdurer. Le busway doit être installé entre Bruay et la Gare de Béthune. Et une ligne Gare de Béthune vers l’hôpital si c’est le long de la voix de chemin de fer. Les sommes économisée par un busway moins dense, permettront d’améliorer le réseau

PhotoComment promouvoir le bus gratuit?
Vous pouvez, dans un premier temps aller sur la page Facebook "Pour le gratuité des bus en béthunois". Vous pouvez surtout voter pour la liste "Béthune Ville Humaine" à Béthune qui le propose dans son programme. 

1 commentaire:

  1. Vous avez raison de promouvoir la gratuité des transports en commun dans nos villes et nos campagnes. Je suis désolé de voir, à nouveau, la place ouverte aux voitures.

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